photo Exposition

Exposition "Animaux, les sens aux aguets"

Exposition, Animaux

Pouilly-sur-Loire 58150

Du 06/04/2024 au 30/06/2024

Saviez-vous que le joli rouge des coccinelles est en fait un message dissuasif envoyé aux oiseaux ou que l’opossum se laisse tomber raide sur le flanc en produisant une fausse odeur de cadavre pour tromper ses prédateurs ? Qu’il soit question de leur couleur ou de leur odorat, les animaux font preuve d’incroyables dons et nous amusent par leurs fascinantes parades ! À travers cette exposition-documentaire, plongez dans les coulisses du monde animal avec les albums Animodorat et Coloranimo (éditions Saltimbanque). Construite autour de la thématique des 5 sens, l’exposition présente une large sélection des magnifiques planches de Claire de Gastold. Une exposition proposée par la Galerie Robillard

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Exposition "Animaux, les sens aux aguets"

Pouilly-sur-Loire 58150

Du 06/04/2024 au 30/06/2024

Saviez-vous que le joli rouge des coccinelles est en fait un message dissuasif envoyé aux oiseaux ou que l’opossum se laisse tomber raide sur le flanc en produisant une fausse odeur de cadavre pour tromper ses prédateurs ? Qu’il soit question de leur couleur ou de leur odorat, les animaux font preuve d’incroyables dons et nous amusent par leurs fascinantes parades ! À travers cette exposition-documentaire, plongez dans les coulisses du monde animal avec les albums Animodorat et Coloranimo (éditions Saltimbanque). Construite autour de la thématique des 5 sens, l’exposition présente une large sélection des magnifiques planches de Claire de Gastold. Une exposition proposée par la Galerie Robillard

photo Exposition : l'Inde Entr'Ouverte

Exposition : l'Inde Entr'Ouverte

La Charité-sur-Loire 58400

Du 10/11/2021 au 28/11/2021

« Je n’avais pas de sujet précis en tête pendant ces deux brefs séjours en Inde. Dès les premiers instants dans la nuit de Mumbai, par la vitre ouverte du taxi attrapé à l’aéroport, les gens et les maisons comme des ombres, la vie qui grouille dans les ténèbres, je pense au Tigre blanc d’Aravind Adiga. De retour à Paris, devant les planches-contact, je réalise que, comme inconsciemment, je suis allée à la rencontre de ces ombres entr’aperçues, de ces portes entr’ouvertes. Mon regard photographique une nouvelle fois attiré par les endroits où se questionnent mes propres ténèbres et mon humanité. » Sladjana Stankovic

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